Alors que les Saas se multiplient dans tous les domaines, choisir le bon logiciel peut ressembler à un chemin de croix. Faire le bon choix peut transformer une entreprise et lui faire atteindre des objectifs ambitieux quand choisir le mauvais peut la plomber et lui faire perdre un temps précieux. Pour aider les entreprises à faire le bon choix, Tool Advisor se positionne comme un guide essentiel, offrant des évaluations approfondies et impartiales pour aider les professionnels à faire des choix éclairés.
Comment fonctionne Tool Advisor ?
Tool Advisor utilise une méthodologie rigoureuse pour tester, analyser et comparer les logiciels. L’accent est mis sur la transparence du processus d’évaluation, qui vise à restituer fidèlement les spécificités de chaque logiciel. Le site ne se contente pas de lister des caractéristiques ; il oriente les utilisateurs vers les solutions les plus adaptées à leur activité, budget et besoins spécifiques. On n’est donc pas seulement sur un passage en revue des fonctionnalités mais sur un vrai conseil et une vraie prise de position qui vous aidera à vous diriger vers la solution la plus adaptée à votre besoin.
Ce qu’on a aimé chez Tool Advisor
Les utilisateurs de Tool Advisor bénéficient d’un gain de temps significatif. Grâce à des comparateurs automatiques et des analyses poussées, le site élimine le besoin fastidieux de comparer des dizaines d’options. De plus, l’absence de publicités et de contenu sponsorisé assure une impartialité totale, les recommandations étant basées uniquement sur les mérites des logiciels et les retours des utilisateurs.
Études de cas et témoignages
Des entreprises de toutes tailles ont trouvé chez Tool Advisor un allié précieux pour optimiser leur infrastructure logicielle. Les témoignages soulignent la capacité de Tool Advisor à simplifier les décisions complexes et à offrir des conseils personnalisés qui répondent précisément aux besoins des utilisateurs.
Position de Tool Advisor dans l’écosystème des startups technologiques
Tool Advisor se distingue dans le paysage des startups par sa rigueur et son engagement envers l’indépendance. La plateforme ne noue pas de partenariats avec des logiciels qu’elle ne recommande pas activement, ce qui garantit que ses conseils restent objectifs et fiables.
Tool Advisor est plus qu’un simple comparateur de logiciels ; c’est une ressource essentielle pour toute entreprise soucieuse de faire des choix technologiques judicieux. En fournissant des analyses détaillées sans compromis, Tool Advisor permet à ses utilisateurs de naviguer avec confiance dans le paysage complexe des logiciels B2B. Pour ceux qui cherchent à accélérer leur croissance avec les bons outils, Tool Advisor offre une valeur inestimable.
La profession indépendante a le vent en poupe, et plusieurs personnes préfèrent se lancer de cette manière à leurs débuts. Très souvent, les travailleurs indépendants préfèrent même rester dans leur statut parce qu’ils réalisent des chiffres journaliers assez bénéfiques.
Cependant, les charges sociales et les impositions peuvent occasionner à la fin de chaque mois une réduction drastique du chiffre d’affaires mensuel. Cet article vous propose quelques moyens pour éviter une telle réduction.
1.Engager un professionnel pour la gestion administrative
La profession indépendante présente plusieurs facettes que vous devez maitriser. Pendant que vous commencez à exécuter vos premiers contrats, vous devez prendre le soin de vous organiser. Les démarches et la gestion administratives prennent une grande place dans cette organisation.
Pour ce faire, vous pouvez vous faire accompagner d’un professionnel qui se charge de toutes les paperasses administratives à votre place. En la matière, vous pouvez consulter freelance-tjm.com/ qui se charge de toutes vos déclarations et de toutes les procédures administratives à votre place. Cela vous évite de stresser et surtout de vous tromper dans les déclarations au fisc, dans les facturations et dans les cotisations sociales.
2.Suivre et classifier vos dépenses mensuelles
Un travailleur indépendant doit cultiver plusieurs compétences à la fois. Vous devez jouer le rôle de comptable pour l’entreprise que vous incarnez. Cela suppose que vous arriviez à suivre vos dépenses, à faire le reporting des consommations que vous effectuez et surtout à détecter les lignes qui prennent d’importantes ressources financières dans votre budget.
Après ce temps de suivi, vous pouvez maintenant classifier vos dépenses mensuelles. Cela revient à déterminer en amont les lignes importantes, les catégories de dépenses urgentes et les commodités secondaires. Cette organisation vous évite de gaspiller vos ressources sans savoir comment. C’est une discipline à observer en tant que travailleur indépendant.
3.Assainir vos distractions
En tant que travailleur indépendant, vous pouvez être tenté à augmenter vos temps de loisirs quand s’installe la routine ou la procrastination. Pendant ces temps, vous devez faire attention à ce que vous coûte une distraction. Vous gagnerez à contrôler strictement votre budget dans ce sens.
Veuillez éviter les distractions trop dépensières et surtout addictives. Évitez par exemple les jeux addictifs tels que les paris sportifs, les casinos en ligne, etc. De même, restez attentifs aux dépenses en ligne telles que les abonnements à des chaines et des sites assez coûteux. Cela vous aidera à contrôler votre budget et à assainir vos distractions.
Le portage salarial est un terme utilisé en France pour décrire le processus par lequel un employeur paie les cotisations de sécurité sociale et d’impôt sur le revenu d’un travailleur. L’employeur paie ces cotisations à la place du salarié, ce qui permet à ce dernier d’être considéré comme un indépendant sur le plan fiscal. Ce système est conçu pour permettre aux salariés de travailler comme indépendants tout en étant couverts par la sécurité sociale et d’autres avantages.Qu’est ce que le portage salarial ?
Il existe de nombreux avantages et inconvénients au portage salarial, ou à l’externalisation de la paie, pour les freelances. L’externalisation de la paie peut aider à économiser du temps et de l’argent sur les tâches administratives, mais elle peut aussi venir avec certains coûts cachés. Voici un aperçu des avantages et des inconvénients du portage salarial pour les freelances.
Comment fonctionne le portage salarial ?
Lorsque vous externalisez votre paie, vous engagez essentiellement une société tierce qui se charge de toutes les tâches administratives liées à la gestion d’une entreprise. Cela peut aller de la préparation et de la déclaration des impôts à la gestion des avantages sociaux des employés et au traitement de la paie.
L’externalisation de la paie peut vous faire gagner du temps et de l’argent sur les tâches administratives, mais elle peut aussi entraîner des coûts cachés. Voici un aperçu des avantages et des inconvénients de l’administration en freelance :
Avantages du portage salarial :
Gain de temps sur les tâches administratives
Lorsque vous externalisez votre paie, vous libérez du temps que vous auriez autrement consacré à des tâches administratives comme le suivi des factures et des paiements.
Économisez de l’argent sur les frais de comptabilité
L’externalisation de votre paie peut également vous faire économiser de l’argent sur les frais de comptabilité, car vous n’aurez pas besoin d’engager un comptable pour suivre vos finances.- Simplifiez votre situation fiscale : Lorsque vous externalisez votre paie, l’entreprise tierce s’occupe de toutes les formalités administratives liées à la déclaration de revenus. Cela peut simplifier votre situation fiscale et vous aider à éviter les pénalités et les intérêts.
Inconvénients du portage salarial
Coûts cachés
Il peut y avoir des coûts cachés associés à l’externalisation de votre paie, tels que des frais de mise en place ou des frais de service mensuels.
Moins de contrôle sur les finances
Si vous externalisez votre paie, vous aurez moins de contrôle sur vos finances. Vous ne serez pas en mesure de suivre vos dépenses d’aussi près et vous ne pourrez peut-être pas modifier votre budget aussi facilement.
Dépendance à l’égard d’une société tierce
Si la société tierce que vous avezà qui vous avez confié la gestion de vos salaires fait faillite, vous n’avez plus aucun moyen de traiter vos salaires. Cela peut constituer un inconvénient majeur et entraîner des retards dans le versement des salaires.
Comme vous pouvez le constater, l’externalisation des salaires présente à la fois des avantages et des inconvénients. Si vous décidez d’externaliser votre paie, assurez-vous de choisir une société tierce réputée et fiable. Faites des recherches sur différentes sociétés et lisez les avis avant de prendre une décision. Une fois que vous avez choisi une société, assurez-vous d’établir des canaux de communication clairs afin de rester au courant de vos finances et d’éviter toute surprise en cours de route.
Le portage salarial est-il adapté à tous les types de freelance ?
Le portage salarial est un mode de travail avantageux pour les freelances, surtout dans l’informatique. Cependant, il n’est pas adapté à tous les types de freelance. Les freelances qui ont besoin d’un grand contrôle sur leurs finances ou qui ont une forte dépendance à l’égard de leur travail ne seront probablement pas satisfaits par le portage salarial. Les freelances qui ont déjà une expérience en comptabilité et en gestion financière peuvent également tirer profit du portage salarial.
Notre avis sur le portage salarial
Si vous envisagez d’externaliser votre paie, il est important de bien peser le pour et le contre. Le freelancing peut être un excellent moyen pour les freelances d’avoir plus de contrôle sur leur travail et leurs finances. Cependant, il ne convient pas à tous les types de freelances. Si vous avez besoin de beaucoup de contrôle sur vos finances ou si vous êtes très dépendant de votre travail, vous ne serez peut-être pas satisfait du freelancing. En revanche, si vous avez déjà de l’expérience en comptabilité et en gestion financière, vous pouvez tirer profit de l’administration en freelance.
Comment choisir une société de portage salarial ?
Lorsque vous recherchez une société d’administration indépendante, vous devez tenir compte de certains facteurs importants. Tout d’abord, vous devez vous assurer que la société est réputée et fiable. Il existe de nombreuses sociétés fantômes qui disparaîtront dès que vous commencerez à travailler avec elles. Assurez-vous de faire vos recherches et de lire les critiques avant de choisir une société.
Deuxièmement, vous devez établir des canaux de communication clairs avec l’entreprise. Cela vous aidera à garder le contrôle de vos finances et à éviter toute surprise en cours de route. Enfin, n’oubliez pas de vous renseigner sur les coûts cachés. Certaines entreprises peuvent facturer des frais de mise en place ou des frais de service mensuels qui peuvent s’accumuler au fil du temps.
En prenant le temps de choisir une entreprise réputée et fiable, vous pouvez vous assurer que votre paie est entre de bonnes mains. L’administration en freelance peut être un excellent moyen d’avoir plus de contrôle sur votre travail et vos finances. Cependant, ce n’est pas pour tout le monde. Veillez à bien peser le pour et le contre avant de prendre votre décision.
Comment faire une simulation de portage salarial ?
Si vous n’êtes pas sûr que le travail en free-lance vous convienne, il y a plusieurs choses que vous pouvez faire pour simuler l’expérience. Tout d’abord, essayez de travailler à domicile pendant un jour ou deux. Voyez si vous pouvez gérer votre temps et rester concentré sur votre tâche sans la structure d’un environnement de bureau. Deuxièmement, essayez de travailler avec un client sur la base d’un projet. Cela vous donnera un aperçu de ce que c’est que de travailler avec des clients en tant que freelance. Enfin, envisagez d’utiliser des plateformes de freelance comme Upwork ou Fiverr pour trouver des projets à court terme. Cela vous donnera une idée de ce que c’est que de trouver et de travailler avec des clients en ligne.
Quand on est indépendant ou avant de se lancer en Freelance, la comptabilité peut vite effrayer. Qu’on soit développeur, product owner, UX/UI… gérer la compta d’une entreprise n’est pas notre métier premier et on peut vite y perdre des heures qu’on aurait mieux utilisées dans notre coeur de métier. Mais quelle solution de comptabilité choisir quand on est indépendant ? Comment ne pas perdre trop de temps à mettre en place les connections avec son compte bancaire et avec son association de gestion agrée ou son comptable ? On vous dit tout pour que la comptabilité de votre entreprise devienne presque un plaisir.
Que prendre en considération avant de choisir une solution de comptabilité ?
Le premier élément à prendre en considération avant de choisir son logiciel de comptabilité est son statut. Selon que vous soyez profession libérale à l’IR (impôt sur le revenu) ou indépendant soumis à l’IS (impôt sur les sociétés) vous n’allez pas vous orienter vers le même outil. L’outil le plus connu du marché, quickbooks, n’est par exemple pas très bien fait pour le statut de profession libérale. Il s’interconnecte avec les experts comptables plutôt qu’avec les associations de gestion agréées, dispose d’un gros système de relance sur facture que les professions libérales utiliseront peu, et pourra donc être lourd si vous n’êtes pas constitué en société. A l’inverse, si ces fonctionnalités vous sont utiles alors vous pourrez avoir intérêt à prendre une licence Essentials à 30€ par mois pour vous économiser le travail de relance et de suivi des paiements.
L’autre élément à prendre en considération est la déclaration de TVA. Selon votre chiffre d’affaires, vous allez déclarer ou non la TVA et le ferez soit mensuellement soit trimestriellement. La déclaration de TVA est sans doute la tâche la plus chiante dans la vie d’un indépendant, si vous y êtes soumis vous allez donc chercher un outil qui va vous la simplifier un maximum voire l’automatiser totalement.
Le meilleur outil de comptabilité pour profession libérale – Indy
Selon nous, et c’est d’ailleurs l’outil qu’on a choisi, Indy est le meilleur outil de comptabilité pour les indépendants. Accessible à travers votre navigateur, il s’interconnecte avec votre banque ET avec votre Association de Gestion Agrée. Chaque jour il va récupérer les transactions liées à votre compte, les catégoriser automatiquement en apprenant de vos classifications précédentes et appliquer les taux de TVA adaptés. Sur la base de toutes ces informations Indy va calculer chaque mois la TVA que vous avez à déclarer et va même pourvoir, à partir de Mars 2022, déclarer à votre place votre TVA mensuelle si vous le souhaitez.
A la fin de l’année, Indy va établir pour vous votre déclaration 2035 si vous êtes profession libérale à l’IR et la transmettre à votre AGA. Vous n’aurez donc quasiment rien à faire si ce n’est renseigner les immobilisations en cours et entrer les frais qui pourraient provenir de vos comptes persos (charge de copro, Pass Navigo, électricité…). Début janvier vous saurez donc avec précision à combien s’élève votre revenu net de l’année passée.
Au niveau tarif, Indy est assez imbattable puisque la solution complète est accessible à 20€ HT par mois. Et comme on est déjà client Indy si vous suivez ce lien d’inscription vous aurez 2 mois offerts !
Lien de parrainnage Indy – 2 mois gratuits pour le filleuil
Quel outil choisir si on est indépendant soumis à l’impôt sur les sociétés
Si vous êtes en SAS, EURL, SARL ou SASU, Indy pourra également être très adapté pour vous. En plus des fonctionnalités décrites ci-dessus, Indy vous permettra de réaliser facilement vos déclarations 2033, 2065, déclarations de TVA, déclarations sociale… Il se charge également d’établir votre bilan, compte de résultat, liasse fiscale 2033, déclaration 2065, fiche de paie du dirigeant, PV d’AG, grand livre, balance, FEC… aux formats agréés par l’administration fiscale. Un tableau de bord vous permet de piloter votre activité et Indy se charge d’établir vos fiches de paies et de télétransmettre toutes les informations utiles à l’URSSAF pour que votre salaire de dirigeant soit en règle.
Vous l’aurez compris, nous sommes des utilisateurs enthousiastes d’Indy. Mais ça ne veut pas dire que les solutions concurrentes ne sont pas bonnes, juste qu’en tant que freelance c’est la première solution qui nous a vraiment permis de sortir du fichier excel fourni par notre AGA et qu’on lui est très reconnaissant pour ça !
Lien de parrainnage Indy – 2 mois gratuits pour le filleuil
Si vous êtes consultant informatique, développeur, Coach Agile salarié, l’idée de passer Freelance vous passe forcément par la tête très régulièrement. Mais avec la crise du Covid, vous vous demandez sans doute si c’est une bonne idée… Comment trouver une mission dans une période aussi instable que la notre ? Cette peur de ne pas trouver de mission est légitime mais rassurez-vous, des nouveaux entrants sur le marché du freelancing ont réussi à rendre la rencontre entre clients et freelances plus facile que jamais.
Les plateformes d’annonces pour Freelance : des ESN en mieux
Historiquement, ce sont les SSII, récemment renommées ESN, qui avaient le monopole du contact avec le client. Pour les chefs de projets, développeurs, recetteurs… impossibles de trouver une mission sans passer par eux. Mais ça c’était avant ! Depuis 2016, les plateformes de mise en relation entre freelances et grandes entreprises ont vu le jour et ont grossi à vitesse grand V pour devenir aujourd’hui des acteurs majeures de l’industrie des services informatiques. Ces plateformes ont différents modèles.
Des plateformes de mise en visibilité de profils de freelances
Sur une plateforme comme Malt, le fonctionnement est proche de celui d’un annuaire de freelance. Le freelance va renseigner son profil, ses expériences, son CV, son tarif journalier… va indiquer sa disponibilité chaque semaine et sur la base de ces informations les clients, en direct ou via les équipes de MALT vont pouvoir le contacter et organiser un entretien. Le business model réside dans les services offerts par MALT. En théorie, vous devez facturer via MALT les missions que vous trouvez sur MALT et la plateforme prendre une commission sur votre facturation en échange de certaines garanties. Depuis 2 ans, MALT a évolué avec des équipes de commerciaux en interne qui peuvent chasser pour le compte des clients, on est donc proche d’une ESN de Freelances.
Des plateformes de publication d’annonces par les clients
Sur d’autres plateformes, le modèle est plutôt celui d’un partage d’annonces à partir desquelles les freelances peuvent postuler. Sur Freelance Informatique par exemple vous avez, en tant que freelance, la possibilité de créer votre profil, un peu comme sur MALT, mais vous avez surtout un moteur de recherche qui va aller trouver pour vous les missions répondant à vos critères. Les localisations, durées de mission et fiches de postes sont consultables par tous et vous pouvez ensuite postuler directement à partir de votre profil. Vous avez aussi la possibilité de contacter le client qui a publié l’offre pour poser vos questions. De leurs côtés, les clients possèdent également un moteur de recherche pour trouver des candidats. On est donc là sur une version améliorée et compléter de l’historique Freelance Info qui avait déjà bien défriché le business des annonces pour freelance. La plateforme est d’ailleurs toujours bien fréquentée par les clients et pourra également être une alternative pour trouver facilement des missions.
N’oubliez pas Linkedin
Pour finir, on vous invite également à ne pas négliger Linkedin. En renseignant votre disponibilité et en gardant votre profil à jour vous permettrez aux ESN qui ont des besoins clients mais aucun profil pour les satisfaire de vous contacter pour vous proposer des missions en sous traitance. Un bon moyen de profiter des talents des commerciaux de SSII sans avoir à les subir en entretien annuel !
Bien que le travail en freelance offre une réelle autonomie aux professionnels de l’informatique, ces derniers peinent souvent à trouver leurs premières missions. Cette situation est généralement due à un manque de visibilité et au grand nombre d’indépendants présents sur le marché du travail. Que vous soyez développeur, ingénieur IT, codeur, etc., voici les moyens qui s’offrent à vous pour trouver des offres d’emploi en informatique pour freelancers.
Inscrivez-vous sur des plateformes de mise en relation
Les plateformes de mise en relation entre indépendants et porteurs de projets vous permettent de trouver facilement vos premières offres d’emploi freelance informatique. C’est notamment le cas du site OnlyEngineerJobs.fr/fr, qui vous donne la possibilité de créer un profil de freelancer résumant votre domaine d’expertise. Vous pouvez également y consulter les propositions de plusieurs clients. Afin de rassurer vos prospects, il est recommandé de proposer des tarifs raisonnables sur votre profil public.
Trouvez des missions sur les canaux sociaux
Au-delà de leur caractère ludique, les médias sociaux disposent de certaines rubriques dédiées aux offres d’emploi. Vous pouvez y postuler directement en créant un profil détaillant vos compétences et votre parcours professionnel en tant qu’ingénieur IT. De plus, n’hésitez pas à suivre les pages des entreprises qui partagent des informations pertinentes dans votre domaine.
Sur des réseaux professionnels tels que LinkedIn ou Twitter, ciblez des annonces qui recherchent des profils rares et suivez également des communications sur le job que vous recherchez.
Utilisez le bouche-à-oreille
Pour trouver des offres d’emploi freelance en informatique, la technique du bouche-à-oreille constitue une option intéressante. Demandez donc à vos proches ou vos contacts professionnels s’ils ont des opportunités à vous proposer.
Cherchez également à rejoindre des groupes de freelancers qui répartissent généralement les projets selon les compétences et les disponibilités des membres. De plus, cette option vous permet de tisser des liens sociaux et d’élargir votre carnet d’adresses.
Ayez recours aux cabinets RH
Il existe de nombreux cabinets RH qui disposent d’une base de données de profils divers, dont l’informatique. Ils sont en mesure de vous mettre en relation avec des entreprises qui recherchent des travailleurs indépendants en informatique, pour des missions ponctuelles ou à long terme. On vous recommande donc de faire des candidatures spontanées dans ces structures afin de maximiser vos chances de trouver des clients. Les agences web et les entreprises de services numériques sont également des pistes intéressantes pour obtenir des missions freelances.
Parler en public n’est jamais simple, notamment pour beaucoup de profils techniques ayant été peu formé à la présentation orale. Cependant, il existe des formations de prise en parole en public qui pourront vous transformer en excellent orateur et propulser votre carrière dans une nouvelle dimension. Si vous souhaitez vaincre votre timidité, voici quelques astuces pour apprendre à parler en public.
Ne pas savoir parler en public n’est pas une fatalité
La prise de parole en public est essentielle pour se développer dans le monde universitaire et professionnel, il existe de nombreuses professions dans lesquelles la compétence verbale et orale est cruciale. En outre, l’un des formats d’évaluation dans le domaine universitaire est la présentation, la défense ou la présentation orale d’un travail. Elle n’est pas moins importante dans la vie personnelle et sociale, car nous sommes des êtres sociaux et nous vivons en société, de sorte qu’il y a de nombreuses occasions où nous devons nous exprimer en public.
On dit souvent que quelqu’un est un bon ou un mauvais orateur. Nous voyons les discours de personnalités ou d’orateurs célèbres et il semble que la prise de parole en public soit un don inné que seuls certains ont la chance de posséder. Comme pour toute autre compétence, il y a des personnes qui ont certaines conditions et facilité à parler en public. Cependant, un bon orateur ne naît pas, mais se fait aussi. Comme l’a dit Quintilian : « Les poètes naissent, mais les orateurs sont faits ». Bien sûr, vous pouvez apprendre à parler devant les autres et à faire des discours de qualité en connaissant les techniques et en les pratiquant. C’est pourquoi nous expliquons des techniques de prise de parole en public faciles à appliquer et très efficaces. Allons-y !
Vaincre sa peur de parler en public
La peur de parler en public est une émotion plus courante qu’il n’y paraît et s’exprime par un sentiment très désagréable. Ce sentiment se produit au moment de parler en public, mais aussi dans les moments qui précèdent et pendant la période où la personne sait qu’elle devra parler en public. Que ce soit pour défendre un journal à l’école, pour présenter une proposition au travail ou pour faire un discours à l’occasion d’une fête.
La peur de parler en public est due à la perception du danger, c’est-à-dire à la croyance que parler en public comporte un certain risque. Par exemple, se ridiculiser, mal faire les choses, faire croire aux autres que l’on ne sait pas comment faire, etc. Mais la réalité est qu’il n’y a pas de danger au point d’avoir une réaction de peur qui nous rend incapables de parler en public. Tout est dans notre esprit et dans notre interprétation inadaptée de la réalité.
L’émotion de la peur est associée à l’action d’évitement et de fuite. Si vous fuyez la situation et évitez de parler en public, la crainte sera renforcée. Par conséquent, si vous voulez perdre la peur de parler en public, la meilleure chose à faire est de faire face à la situation.
Se former à la prise de parole en public
Regardez les conférenciers et apprenez leurs tours. Regardez les personnes qui s’expriment en public, les aspects qu’elles ont en commun, les détails qui attirent votre attention. Vous pouvez rechercher une ou plusieurs références. En observant les autres, vous saurez par où commencer.
Imitez vos modèles ou les personnes qui vous plaisent dans la façon dont elles parlent devant les autres. Trouvez un moment de calme, mettez-vous à la place d’un orateur et imitez-le en copiant les techniques qu’il utilise lorsqu’il parle en public.
Pratiquer. Toutes les compétences pratiques s’acquièrent en les répétant sans cesse. Apprendre à prononcer des discours devant les autres s’apprend par la pratique.
Identifier les erreurs. Il est toujours possible de faire mieux. Soyez conscient des échecs, choisissez l’un d’entre eux et concentrez-vous sur celui-ci pour l’améliorer. Lorsque vous aurez appris cela, identifiez une autre erreur et suivez la même procédure.
Quelques techniques pour être à l’aise à l’oral
1) Croire en soi-même
Augmenter le niveau de confiance en soi. Vous pouvez travailler à augmenter votre confiance en soi, car, pour parler en public, il est très important de croire en soi. Vous devez avoir confiance en vous, en vos capacités et en vos connaissances.
2. ne vous jugez pas vous-même
L’important n’est pas l’orateur, mais le discours. Le public, sûrement, ne va pas observer et évaluer l’orateur, il va écouter un discours. Par conséquent, l’important est ce que vous transmettez et ce que vous apportez au public, les informations et le sentiment que le public retire du discours.
3. Ignorer ses nerfs
Il est normal de ressentir une certaine activation du corps, comme une augmentation du rythme cardiaque et respiratoire, une transpiration des mains, de légers tremblements et une excitation générale. Rien ne va plus, votre corps s’active simplement pour relever un défi. Le cœur pompe plus vite pour irriguer toutes les zones de notre corps, tout comme la respiration s’accélère pour fournir de l’oxygène. Les muscles se préparent au mouvement et la température du corps augmente. Le corps tout entier est prêt à nous aider à relever le défi de donner une conférence publique. Il n’est pas nécessaire de lui donner plus d’importance qu’elle n’en a.
4. Apprendre les techniques de respiration et de relaxation
Si les nerfs vous empêchent de parler en public, vous devez apprendre des techniques de respiration, comme la respiration diaphragmatique, et des techniques de relaxation, comme la relaxation musculaire progressive de Jacobson. Pour pouvoir les mettre en pratique et obtenir une diminution de l’activation physiologique.
5. Utiliser son imagination
Faites un exercice d’imagination. Le cerveau ne distingue parfois pas la réalité de l’imagination. Il est donc bon d’imaginer à l’avance la situation dans laquelle on parle en public correctement avec autant de détails que possible. Lorsqu’il parle en public, le cerveau n’interprétera pas cette situation comme totalement nouvelle, car pour lui, c’est déjà arrivé, même si c’est en imagination.
6. Maîtriser son sujet
La connaissance approfondie du sujet à exposer constitue la base d’un bon discours, d’une plus grande confiance en soi, à une plus grande connaissance pour préparer les points importants de l’exposé et aussi pour répondre aux questions que le public peut planter.
7. Soyez clair sur l’objectif de votre speech
Il est nécessaire d’être clair sur l’objectif de l’entretien pour avoir un point de référence présent à tout moment. Savoir ce que nous voulons communiquer et ce que nous devons transmettre pour guider le discours. L’objectif doit figurer dans la conclusion.
8. Connaître son audience
Connaître les caractéristiques du public auquel s’adresse la conférence. Cela permet d’adapter à la fois l’information et la manière de la donner. Pour ce faire, il faut se mettre à la place du public et lui parler de ce qu’il trouve intéressant et dans un langage qui lui convient.
9. Bien Préparer son discours
Il est essentiel de très bien préparer ce qu’il faut dire et comment le dire, c’est-à-dire de prévoir un scénario avec le squelette du discours. Les premières fois que vous prenez la parole en public, moins vous en laissez au hasard, mieux c’est. Il est recommandé de commencer à préparer le scénario par la conclusion et de continuer à tracer le chemin pour y arriver.
10. Interagir avec son public
Pour créer une attente et susciter l’intérêt, vous pouvez utiliser certaines de ces astuces pour attirer l’attention :
Posez une question percutante. Par exemple : éliminer les drogues ou les légaliser ?
Citez une phrase bien connue. Un exemple : je sais juste que je ne sais rien. Ajoutez même une variante. Par exemple : Houston, nous avons 3 problèmes.
Utilisez un jeu de mots. Comme : Boire pour vivre et ne pas vivre pour boire.
Fournir des faits surprenants : En Espagne, plus de dix personnes se suicident chaque jour.
Utilisez des exemples, du contenu visuel, des données statistiques, des métaphores, des comparaisons, etc. C’est un moyen de proposer des informations d’une manière différente et attrayante. Toutefois, ces ressources doivent être utilisées avec parcimonie.
11. Établir une bonne ambiance avec le public
La sympathie du public sera l’un des facteurs clés du succès d’un discours. Cela peut se faire en pratiquant l’empathie, en étant honnête, en expliquant une anecdote intéressante ou drôle et en interagissant avec le public : vous pouvez faire un compliment, une question adressée au public, etc.
12. Soyez naturel
Il est recommandé d’opter pour la simplicité, la facilité et la clarté. Utilisez un vocabulaire compréhensible et essayez de ne pas faire de digression ou de perdre le fil des explications.
13. Utiliser l’humour quand le sujet s’y prête
Dans les situations où l’utilisation de l’humour est appropriée, il peut animer le discours et créer un lien avec le public. Il apporte également un sourire au public et contribue à retenir son attention.
14. Usez intelligement du silence
Une pause dans le discours sert, par exemple, à laisser au public l’espace nécessaire pour traiter l’information et réfléchir. Dans ce cas, il serait utilisé après une phrase importante, une explication importante ou la formulation d’une question. Le silence, en revanche, peut être utilisé pour attirer l’attention et créer une attente. Dans ce cas, il peut être utilisé avant de répondre à une question, avant de poursuivre une partie importante du discours ou avant de révéler une information.
Ce que vous devez garder à l’esprit quand vous parlez en public
La loi de la primauté et la loi de la récence. Ces lois disent que nous nous souvenons du début et de la fin du contenu, par conséquent, ces deux parties sont essentielles et nécessitent plus d’efforts et de préparation. Plus précisément, la dernière phrase du discours est d’une grande importance, car elle suscitera ou non les applaudissements du public.
Communication verbale et non verbale. Comme, par exemple, le ton de la voix, l’expression du visage et la posture du corps.
Les choses à éviter lorsque vous parlez en public
Évitez de dire la phrase typique « Je ne suis pas bon pour parler en public » avant la présentation et encore plus pendant la présentation. Le fait que le public croit cette phrase joue contre nous. D’autant plus si l’orateur lui-même y croit.
Excuses. Il n’est pas conseillé de présenter des excuses pour le matériel ou pour un aspect quelconque du discours.
Si vous êtes consultant Freelance, vous avez forcément déjà reçu des appels ou des demandes linkedin de cabinets de recrutement IT. Les cabinets de recrutement IT, spécialisés en prestations de consultants freelances sont très complémentaires des ESN/ SSII.
Les missions d’un cabinet de recrutement IT
Historiquement, les cabinets de recrutement recevaient les demandes de grandes entreprises qui cherchaient à recruter dans leurs équipes en CDI et cherchaient les candidats répondant aux critères établis par l’entreprise. Mais avec l’avènement du freelancing, de nombreux cabinets ont pivoté et s’occupent maintenant de trouver des profils pouvant répondre aux besoins ponctuels des entreprises comme le faisaient historiquement les SSII / ESN. On trouve de nombreux cabinets qui proposent des missions accessibles aux freelances dans des entreprises séduites par l’état d’esprit et la séniorité des indépendants et qui ne souhaitent plus faire appel exclusivement aux sociétés de services.
Quelles missions trouver grâce à ces cabinets de recrutement IT ?
Si vous êtes consultant SAP, vous trouverez de nombreuses missions qui vous correspondront car le marché des freelances SAP est très dynamique. On trouve de plus en plus de consultants freelances qui confirment faire appel à un cabinet de recrutement freelance pour trouver leurs missions. Mais si vous êtes Product Owner, Scrum Master ou Développeur Freelance, vous pourrez aussi avoir intérêt à rencontrer ce type de cabinet. Le travail de ces cabinets se résume en 2 aspects totalement symétriques :
Rencontrer des entreprises pour être constamment au courant des besoins à pourvoir
Rencontrer des candidats pour se constituer une base de données de CV qui leur permet d’être réactif aux demandes qu’ils reçoivent
Si un cabinet de recrutement IT vous appelle en ayant pleinement connaissance de votre statut de Freelance n’hésitez pas, rencontrez-le, l’échange ne pourra qu’être enrichissant.
En introduction, disons le tout net, un freelance ne sait avec certitude combien il a gagné qu’à la fin de l’année voire à la fin de l’année suivante quand les prélèvements sociaux ont été opérés. Il faut donc prendre nos chiffres comme des simulations à la grosse maille et pas comme des certitudes. Une fois qu’on a dit ça, je peux quand même vous dire combien gagne un freelance par rapport à un salarié en me basant sur mon expérience personnelle et sur celles d’amis à moi.
Salaire, TJM et intercontrat
Pour calculer le revenu prévisionnel d’un freelance, il faut prendre en compte le TJM qu’il espère, la marge d’éventuels intermédiaire, les périodes éventuelles d’intercontrat, les congés et évidemment les prélèvements obligatoire. En comparaison, côté salarié, on prendra en considération les éventuelles primes, intéressement, participation, avantages en nature type ticket restaurant ou CE, etc…
Prenons le cas d’un développeur touchant 2500€ nets par mois en SSII. Imaginons qu’il se lance en freelance et qu’il trouve une mission par l’intermédiaire d’une société de conseil pour un TJM de 450€. Sur ces 450€, la SSII prélèvera dans les 50€ par jour. Ce montant est difficile à généraliser, certaines prélèvent au forfait (exemple : 100€ par jour quelque soit le TJM) d’autres prennent un pourcentage. Il restera donc au freelance : 400€*217 jours pour le nombre de jours qu’il aurait travaillé en tant que salarié conventionné Syntec = 86.800€. Si on compare ce chiffre à son brut annuel de salarié, l’écart est énorme. Mais les charges qui vont directement peser sur lui seront plus importantes que celles qui faisaient passer son brut de salarié en net. Et c’est là que le calcul devient compliqué car les charges sont prélevées sur les bénéfices et pas sur le chiffre d’affaires. Il faut donc quels charges va avoir le freelance, le jeu étant de faire baisser le plus possible son résultat pour faire baisser ses charges.
Les frais à déduire de son chiffre d’affaires
Le conseil étant une activité de service, il y a assez peu de charges à déduire mais vous allez quand même pouvoir en trouver :
Les charges du quodidien
En tant que Freelance, vous pouvez déduire pas mal de choses que vous auriez payé de toute façon. Par exemple, vous pouvez déduire 50% de votre électricité et de votre internet, votre téléphone, des achats tels que des meubles (table, bureau, chaise…), des achats tels que des packs d’eau, du café, des fournitures de bureau… Tout ce qui peut être justifié facilement peut passer en frais et faire baisser votre résultat.
Charges immobilières
Vous avez la possibilité de déduire une partie de vos charges si vous êtes propriétaire, une partie de votre loyer si vous êtes locataire et même de vous verser un loyer si l’appartement est à vous. Ces montants peuvent vite devenir important mais vous ne devez pas les exagérer. Et seules les charges locatives peuvent être déduites.
Frais kilométriques
Historiquement, les frais kilométriques sont l’une des plus grosses sources de défiscalisation des entrepreneurs. A une époque, les abus étaient tellement gros que l’état à dû légiférer en limitant la cylindrée maximum des voitures servant à faire de la route. L’avantage c’est que les frais kilométriques ne nécessitent pas de justificatifs, il faut juste que votre voiture ait bien les kilomètres que vous avez déclaré au compteur et que les trajets soient liés à de vrais clients ou à des prospects chauds. Pour peu que vous habitiez un peu loin de votre client, vous pouvez facilement déduire plusieurs centaines d’euros par mois.
Les périodes d’intercontrat
Contrairement aux salariés, les périodes d’intercontrat ne vous seront pas payées. Vous devez le prendre en compte dans votre calcul. Une année normale compte 251 jours ouvrés. On a pris 217 jours dans notre calcul pour retirer l’équivalent des congés et des RTT. A vous de voir combien de jours vous pensez travailler dans l’année et si vous voulez profiter de votre TJM pour gagner beaucoup ou pour travailler moins.
Au final, combien gagne un développeur freelance ?
Notre calcul se base sur un salaire / TJM de développeur mais, quel que soit le métier, vous pouvez espérer doubler votre salaire en passant indépendant. Entre les dépenses perso que vous passerez en pro et le TJM qui ira droit dans votre poche, vous passerez facilement de 2500 à 5000€ net. Il faudra juste être conscient que ça se fera au prix de plus de paperasse, de difficultés avec la banque pendant 2 ou 3 ans et de petits stress pendant vos recherches de mission mais, dans l’informatique, vous pouvez être sûr que vous trouverez toujours une mission en moins de 3 semaines. Et si vous fidélisez le client, votre salaire deviendra considérablement plus élevé qu’en tant que salarié.
Comment trouver des clients quand on est développeur freelance ?
Si vous êtes développeur et souhaitez trouver des annonces et des clients pour vous lancer, de nombreux sites font l’intermédiaire entre vous et les sociétés clientes. Sur cette page vous pourrez par exemple trouver des annonces destinées au développeur web à la recherche de client. Les annonces sont disponibles dans toute la France et pour tous types de contrat, si vous ne souhaitez que des missions en Freelance n’hésitez pas à contacter tous les clients qui ont publié les annonces car le type de contrat n’est jamais un frein. Beaucoup d’entreprises pensent encore que le CDI est un plus dans l’esprit des développeurs mais si vous leur dîtes que vous êtes disponible en Freelance ça ne les bloquera jamais vraiment. Le principal pour vous c’est de les voir en entretien, de faire vos preuves pendant le test technique, le reste n’est que de l’administratif. Il y a tellement peu de bons développeurs disponibles sur le marché qu’aucune entreprise ne dira non à un bon dev uniquement pour des histoires de statuts. Et si vous voyez que ça bloque vraiment, vous pouvez négocier que 6 mois de freelance fasse office de période d’essai avant un passage en CDI sans période d’essai au bout de 6 mois. Croyez nous, tout se négocie quand on est un bon développeur !